Le mercredi 25 novembre, lors d'une journée de mission, nous avons découvert la ville de Rillieux-la-pape. Jacques Grosson, directeur du lycée Saint Joseph-Assomption, et sa femme, nous ont accueillies puisqu'ils y habitent. Vous pouvez regarder le diaporama ci-contre pour vous faire une idée de la ville.
Née de la fusion de Rillieux et de Crépieux-la-Pape le 15 décembre 1972, Rillieux-la-Pape est située au Nord Est de l’agglomération lyonnaise, en bordure du département du Rhône dont elle fait partie. C’est l’une des 55 communes qui composent la communauté urbaine. La ville se caractérise par l’histoire de sa construction et sa topographie : entre les deux villages de Crépieux et Rillieux s’étend la ville nouvelle. 30000 habitants, de 75 nationalités, se côtoient à Rillieux-la-Pape.
Les Quartiers de Rillieux-la-Pape
Le Vieux Village de Rillieux
Le quartier de Vancia
Les fouilles entreprises sur place de 1999 à 2001 font remonter le peuplement de Vancia à l’âge de pierre. Les archéologues y ont trouvé des silex taillés, des céramiques antiques et médiévales. Si on remonte dans le temps, on retrouve les premières traces écrites de ce quartier en 1230 sous le nom d’Avancia lors de litiges entre Montluel et l’Ile Barbe. Tout d’abord dépendante de Miribel, Vancia est rattachée à Rillieux en janvier 1968.
Le quartier de la Roue
Du domaine de la Roue, ne subsiste que le nom. Au XVIIIème siècle, le seigneur de la Roue, originaire du Forez, s’installe avec sa famille dans cette propriété de 25 hectares. Une maison de maître, un grand parc, des terres agricoles, un bâtiment de ferme, une serre, une écurie et des remises constituent le domaine. La propriété conservera le nom de la Roue et traversera l’histoire : la Révolution française, la révolte des Canuts. En 1900, le domaine est racheté par un négociant en soieries, M. Permezel, qui le reconstruit à son goût. Quelques temps inoccupée, la propriété est acquise en 1957 par une société de reconstruction : la maison bourgeoise est rasée, des lotissements sont construits, premier quartier moderne de la commune, test pour la future Ville Nouvelle. La cité de la Roue est née.
La ville Nouvelle
Tout d’abord surnommé ZUP, zone à urbaniser par priorité, au moment de sa création à la fin des années cinquante, le plateau abandonnera cette appellation, devenue péjorative et désuète, dans les années quatre-vingt dix. On parle désormais de ville nouvelle. Une ville dont les quartiers conservent encore les appellations des anciens lieux-dits : Semailles, Bottet, Piamateur, Verchères, Village, Manges etc… Mêlant décor rural et espaces naturels, la ville nouvelle surprend souvent par la qualité de ses espaces verts et la densité des zones fleuries. La ville est aujourd’hui titulaire de 2 fleurs, qui récompensent les efforts fournis en matière d’aménagement botanique.
Du domaine de la Roue, ne subsiste que le nom. Au XVIIIème siècle, le seigneur de la Roue, originaire du Forez, s’installe avec sa famille dans cette propriété de 25 hectares. Une maison de maître, un grand parc, des terres agricoles, un bâtiment de ferme, une serre, une écurie et des remises constituent le domaine. La propriété conservera le nom de la Roue et traversera l’histoire : la Révolution française, la révolte des Canuts. En 1900, le domaine est racheté par un négociant en soieries, M. Permezel, qui le reconstruit à son goût. Quelques temps inoccupée, la propriété est acquise en 1957 par une société de reconstruction : la maison bourgeoise est rasée, des lotissements sont construits, premier quartier moderne de la commune, test pour la future Ville Nouvelle. La cité de la Roue est née.
La ville Nouvelle
Tout d’abord surnommé ZUP, zone à urbaniser par priorité, au moment de sa création à la fin des années cinquante, le plateau abandonnera cette appellation, devenue péjorative et désuète, dans les années quatre-vingt dix. On parle désormais de ville nouvelle. Une ville dont les quartiers conservent encore les appellations des anciens lieux-dits : Semailles, Bottet, Piamateur, Verchères, Village, Manges etc… Mêlant décor rural et espaces naturels, la ville nouvelle surprend souvent par la qualité de ses espaces verts et la densité des zones fleuries. La ville est aujourd’hui titulaire de 2 fleurs, qui récompensent les efforts fournis en matière d’aménagement botanique.
Crépieux
Crépieux dériverait de Crispiacum, domaine de Crispus, où passait la voie romaine vers Montluel et Besançon. Crépieux-la-Pape est créée en 1927 par François Canellas. Le nom de Crépieux est mentionné à plusieurs reprises dans les écrits anciens. Dans l’un d’eux, daté du 28 avril 1504, les syndics de Miribel obtiennent d’Antoine de Varay la remise des îles et brotteaux depuis Crépieu jusqu’à Neyron. Les noms en ieux sont communément d’origine gallo-romaine et portent généralement le nom des gros propriétaires terriens de l’époque. Le domaine de Crépius est devenu Crépieux comme celui de Maximus s’appelle à présent Meximieux, par scission de Crépieux-la-Pape, hameau de Rillieux.Crépieux-la-Pape et Rillieux ne font qu'un jusqu'en 1927, année où survient la séparation des deux communes, sous l'impulsion de François Canellas, organisateur du hameau de Crépieux dont il restera maire jusqu'à son décès en 1940. Après 43 ans de séparation, les deux domaines sont à nouveau réunit en 1972.
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